jeudi 15 décembre 2011

ptit retour en France

et oui il est tant de rentrer voir sa famille et ses amis pour les fêtes de fin d'année! Mais restez à l'écoute car les aventures d'"une sage-femme Française au Brésil" ne sont pas terminées pour autant.
Alors toi qui est devant ton écran, oui TOI, reste connécté!
Tu peux même t'inscrire en notant ton ptit mail, là en bas à droite de ton écran, oui LA, pour recevoir un ptit message dans ta ptite boîte mail afin de t'avertir des ptites nouveautés.

Allez pleins de ptits bisous!


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mardi 6 décembre 2011

infos ou intox?

Dés que l'on parle de grossesse ou d'allaitement, tout le monde aime donner ses recommandations, ses conseils par rapport à son propre vécu ou encore à ce qu'il a entendu dire. Je pense que vous avez dû vous en rendre compte (pour celles qui sont passées par là). Pour les autres, pas d'inquiètude ça viendra!
J'en ai entendu des vertes et des pas mûres à ce sujet!
Et ce soir je voulais vous faire connaître quelques idées et préconçus qu'il existe, ici, au Brésil (et oui parce que ce ne sont pas les mêmes figurez-vous!).

Je commence avec ma belle-soeur, qui a accouché il y a 6 mois (une petite Emmanuelle, trop jolie!), et qui me demande s'il est vrai que pendant la grossesse et l'allaitement on ne peut ni manger de chocolat ni de miel. Alors là, moi, toute étonnée, je lui réponds que :
- Non, c'est faux! du moins pas à ma connaissance...je n'ai jamais entendu parler de ça en France.
Et elle me rétorque sure d'elle:
- Mais si, tu sais, il y a une substance, je ne sais plus quoi, dans le chocolat et dans le miel qui n'est pas digéré par les bébés. En tout cas c'est mon médecin qui me l'a dit. (comme si la parole du médecin était parole d'évangile!)
Ne voulant pas la froisser je dis:
-Peut-être, mais je t'assure que c'est étrange que je n'en ai jamais entendu parler dans mon travail....mais je vais me renseigner.
Aprés tout, on en apprend tous les jours, donc pourquoi pas?
J'avais l'air maline, moi qui recommande de manger du chocolat (noir) à toutes les femmes enceintes car c'est un source de magnésium. C'est bon contre les crampes et ça fait du bien au moral! que je leur disais.
Du coup j'ai cherché sur le net une réponse (et oui on trouve tout sur internet de nos jours! mais comment on faisait avant?c'est à se le demander...).Et là j'ai trouvé une mine d'informations : en plus de voir que le chocolat n'avait rien de dangereux pendant la grossesse, j'ai lu qu'il était même recommandé d'en manger, car selon des études il diminuerait le risque de pré-éclampsie (je traduis: maladie dangereuse entrainant une hypertension et une dégradation de la fonction rénale, principalement, en fin de grossesse) et rendrait les bébés plus heureux. Que demander de mieux! Alors allez-y mesdames, mangez du chocolat! (Mais pas la tablette entière quand même...).
Et pendant l'allaitement alors?
Et bien vous pouvez aussi en manger. C'est comme le café, le thé, les sodas et autres substances exitantes (la plus connue étant le sucre!!), il faut y aller avec modération. Le chocolat contenant de la caféine, si vous ne voulez pas avoir un bébé hyperactif, qui ne dort ni la nuit ni le jour, suivez mon conseil. DU CHOCOLAT OUI, LA PLAQUETTE ENTIERE NON!

Quant au miel, il n'y a absolument aucun risque à le consommer pendant la grossesse, par contre il est vrai qu'il vaut mieux préférer le miel pasteurisé pendant la durée de votre allaitement, car il y a un trés faible risque de botulisme chez l'enfant de moins d'1 an (maladie entraînée par une neuro-toxine et provoquant un état "flasque", peut aller jusqu' à la paralysie pulmonaire et motrice ). Je pense que tous les miels vendus en France sont pasteurisés, car les règles d'hygiènes y sont sévères, mais au Brésil....? je ne sais pas. Aprés il faudrait vraiment que le miel que vous consommez soit mis en pot de manière peu précaucionneuse pour que votre enfant soit contaminé. Donc OUI POUR LE MIEL PENDANT LA GROSSESSE ET L'ALLAITEMENT MAIS PASTEURISE.

Voilà pour ce soir!

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dimanche 4 décembre 2011

ah la culture...

Qu'est ce que la culture? Vous êtes vous déjà posés la question? 
En allant chercher sur wikipédia j'ai trouvé la définition suivante :  selon le sociologue québécois Guy Rocher, la culture est "un ensemble lié de manières de penser, de sentir et d'agir plus ou moins formalisées qui, étant apprises et partagées par une pluralité de personnes, servent, d'une manière à la fois objective et symbolique, à constituer ces personnes en une collectivité particulière et distincte."


Je crois que l'on ne se rend pas vraiment compte de ce que peut représenter la culture et pourtant elle est là, tout le temps, et partout. Dans chaque pensée, dans chaque acte de votre quotidien...et même dans votre façon d'être! Je ne sais pas pour vous, mais moi ça me semblait jusque là trés abstrait comme concept. Je crois que pour entendre le sens de ce mot il vous faut sortir de votre propre culture. Ce n'est pas chose simple! Beaucoup de gens voyagent, mais y en a-t-il autant qui ont le courage et la curiosité de rencontrer réellement "l'autre" dans sa culture. Cela demande humilité et respect. 


Aujourd'hui je sais que ma culture transparait même dans le simple fait de dire "merci", "s'il vous plaît", ou encore dans ma façon de manger...
Ah d'accord! c'est ça la culture? Maintenant j'ai compris! 
Et comme je disais ça demande d'être humble et respectueux, car ce n'est pas forcément la façon dont on a l'habitude d'agir qui est la bonne ou la meilleure, mais il faut comprendre qu'il existe plusieures bonnes façon d'agir.
Et quand on vit avec un conjoint qui a une culture différente, cela peut parfois être compliqué. Et des choses toutes "bêtes" peuvent être perçues par l'autre comme un manque de respect. Alors il faut communiquer...et comprendre l'autre.


Ppppffffff.....parfois c'est compliqué la culture!!!


Faire 1 bise au lieu de 2 (et l'autre joue alors?elle n'a pas le droit à une bise elle aussi?), couper sa viande avec le coûteau dans la main gauche (ça c'est difficile!!lol), arrêter de dire merci et svp à tout bout de champ...(hihihij'avoue que ça j'ai du mal encore, c'est tellement inscris dans ma façon d'être!)ou encore traverser sur les passages piétons pensant que vous aurez la priorité...que n'est ni!!


Mais parfois la culture peut aussi avoir ses avantages:


Ne plus se presser à la caisse du supermarché: vous savez quand vous essayez de ranger vos achats dans les sacs plus vite que la caissière ne les passe au BIP! et les gens derrière qui vous regardent ranger vous courses  avec un air de: "elle peut pas  faire plus vite celle-là!". Et bien au Brésil plus de STRESS à la caisse! (jolie la rime!on pourrait en faire un slogan:PLUS DE STRESS à la CAISSE!lol) et oui ici c'est quelqu'un qui le fait à votre place. Quel bonheur! Pendant ce temps, vous pouvez vous détendre en discutant tranquillement avec la caissière de votre nouvelle coiffure ou de votre manucure(et oui ce sont les sujets de conversations de la Brésilienne, il faut bien s'adapter!). Combien de fois en France avez-vous tapez la cosette avec la caissière?Honnêtement je peux les compter sur les doigts d'une main!!
Idem à la station essence: vous n'avez même pas besoin de sortir de votre voiture pour faire le plein, parce que le pompiste (profession qui existe encore au Brésil)le fait à votre place! Fini les mains qui puent le super! Et puis vous n'allez tout de même pas abîmer votre nouvelle manucure!!


Ah ça a du bon la culture quand même!!


Ce sont mes petits bonheurs du quotidien, que je voulais vous faire partager!

jeudi 1 décembre 2011

quelques réflexions à propos de la naissance...

"C’est l’humanité de demain que nous voulons contribuer à préparer. Notre vision est de réinstaurer du respect et du sacré lors de ce grand événement qu'est la naissance d’un être humain."D'aprés l'Institut AMA (institut de formation en médecine humaniste). Voilà une phrase qui résume tout!
Alors une question me vient: que reste-t-il de sacré dans la venue au monde de nos progénitures au XXIème siècle? J'ai envie de dire plus grand chose... 
Au cours de mes études, j'ai vu tant de comportements violents et irrespectueux de la part des professionnels de santé (que ce soit médecins, sages-femmes,anesthésistes...toutes professions confondues), que j'ai trés souvent eu envie d'arrêter tout de suite les études. Je pensais m'être trompée de voie, car avant cela j'étais loin d'imaginer la violence (verbale ou physique) avec laquelle les femmes et leurs bébés pouvaient parfois être traitées. J'ai été le témoin de tant d'humiliations! Des anecdotes j'en aurais des tonnes à vous raconter mais ce n'est pas le propos. Et si des sages-femmes lisent ceci je sais qu'elles sauront de quoi je parle. 
Et je peux vous dire que lorsque l'on est une "pauvre petite m...." d'étudiante sage-femme (oui c'est bien ainsi que l'on est traité!) le travail n'est pas des moindres...et il faut être au combien motivé pour poursuivre ses études. C'est là que je remercie mes parents et mes amis pour tout le soutien qu'ils ont pu me donner dans ces moments difficiles. MERCI. 
J'ai envie de remercier du fond du coeur également, les quelques sages-femmes que j'ai eu la chance de rencontrer au cours de mes stages et qui ont su me redonner confiance et mettre en lumière les capacités que j'avais là, enfouies. C'est avec le recul que l'on se renconte de ces petits bonheurs. Grâce à eux j'ai pu en arriver là aujourd'hui.  
Mais revenons à notre sujet:
 Comment en est-on arrivé à de tels comportements? Quand on voit qu'au Brésil les césariennes supplantent l'accouchement voie basse, on peut se poser des questions. Et quand en France,de nombreux établissements se vantent d'avoir des taux d'anesthésie péridurale approchant les 99%! Dans quel monde vit-on? N'y a-t-il que le profit et la rentabilité qui comptent de nos jours?  
Notre peuple "moderne" aurait-il oublié  le côté unique et exceptionnel que peut représenter chaque naissance? A-t-on oublié que la mise au monde d'un enfant pouvait être un rite de passage important pour la femme qui va devenir mère? Il faut rendre à la femme sa place centrale dans la mise au monde de son enfant, ainsi on évitera bien des complications. Complications qui sont tellement présentes actuellement dans nos maternités, qu'on en arrive à oublier que l'accouchement est un processus physiologique. Il n'y a pas plus tard que 2 générations les femmes donnaient la vie à la maison!Ce qui peut paraître inconscient de nos jours! Et pourtant, elles s'en sortaient plutôt bien nos grands-mères puisque vous êtes là devant moi, et bien en vie! 
Ainsi en l'espace de 30 ans on en est arrivé à faire de la naissance un phénomène ultra-surveillé, contrôlé, médicalisé, industrialisé, où la grande majorité des femmes accouchent sous l'effet de derivés morphiniques et d'ocytocine de synthèse!!(ocytocine=hormone naturellement produite par le corps responsable des contractions utérines provoquant l'accouchement, responsable de l'éjection du lait lors de l'allaitment et est aussi définie comme l'hormone de l'amour et de l'attachement). Il n'y a donc plus rien de "naturel" (même plus nos hormones!) dans le fait de donner la vie au XXIème siècle! Ça paraît incroyable et pourtant c'est la dure réalité. Ne parlons pas du Brésil, où plus de la moitié des enfants naissent par césarienne! 
Comme si les femmes n'étaient plus capables de le faire elles-mêmes? Serait-ce une mutation de l'espèce qui est en train de se produire? Le bistouri est-il devenu indispensable à la survie de l'humain? Parce que si c'est le cas il y a de quoi s'inquiéter pour la pérennité de l'espèce humaine.


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La renaissance de l'accouchement voie basse

Il a été publié récemment un article qui annonce qu'il nait au Brésil plus de bébés par césarienne que par voie basse!!on est à 52% de césar ds le pays, mais certains Etats sont plus proches des 60%!! c'est incroyable de penser que mettre au monde son bébé puisse relever de la chirurgie!! comme si la société remettait en cause la capacité des femmes à "dar a luz" (littéralement donner la lumière, ce qui veut dire accoucher en français, mais je trouve cette expression tellement belle...dommage qu'elle soit si peu mise en pratique.). On peut se pauser la question de ce que vont devenir les générations futures av ce mode de naissance "industrialisé", parce que c'est bien de cela qu'il s'agit...Il ne faut pas s'étonner du taux de criminalité en hausse et du nombre impressionnant de maltraitance envers les enfants dans ce pays!!
donc ce documentaire invite les Brésiliens à réfléchir à ce qu'il est en train de se passer dans leur pays, et que ces césariennes non justifiées sur le plan médical, ont des conséquences certaines sur leurs enfants et sur eux-mêmes. Je vous invite à le regarder car je le trouve merveilleusement bien fait.


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mercredi 23 novembre 2011

la méthode Lamaze : les prémices de l'accouchement sans douleur en France

"L'accouchement sans douleur a été mis au point par le Dr Fernand Lamaze et son équipe, après avoir assisté à un accouchement dans l'ex-URSS. Cette méthode repose sur deux piliers. Le premier est pédagogique : il s'agit d'apprendre à la future mère comment accoucher, un peu comme on lui apprendrait à nager. On lui donne notamment des notions d'anatomie. Dans les années 1950, la pédagogie passait par des cours magistraux, et les ouvrières métallurgistes "retournaient sur les bancs de l'école". L'autre pilier du programme est un volet physique. Il reposait à l'époque sur les travaux de Pavlov : il s'agissait de "déconditionner" les femmes à souffrir lors de l'accouchement. Cela passait par associer la contraction à la respiration pour oxygéner bébé, au lieu de l'associer à la douleur.
Cette méthode était très controversée. Dans les années 70, M. Leboyer a ajouté la notion de douceur de l'accueil de bébé. Lumière, gestes… la méthode Leboyer prônait une naissance sans violence. Puis, il y a eu l'arrivée de la péridurale dans les années 80, très fortement dosée à l'époque. Les femmes ne sentaient plus rien. Elles redevenaient passives, alors que la démarche de Lamaze visait à les rendre actives. Il fallait trouver un équilibre entre la diminution de la douleur et l'implication dans son accouchement."
selon doctissimo

A vrai dire, Brenadette n'a rien inventé! Bon faut dire que c'est quand même grâce à son travail que les postures, autres que "gynéco", sont rentrées dans les maternités françaises.

Aprés de multiples lectures sur les maternités du Brésil, j'ai rencontré à plusieurs reprises cette fameuse méthode "de Lamaze", qui m'était jusque là inconnue...étrange car ce docteur est pourtant bien de chez nous. Et j'en avais jamais entendu parlé jusqu'à aujourd'hui!
A vrai dire c'est une méthode assez répandue en Espagne, au Portugal et dans les pays anglo-saxons. Nous on connait mieux Bernadette de Gasquet...

Je vais donc me mettre à cette méthode...

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mardi 22 novembre 2011

Cours de prépa à Mogi-Guaçu

Ce soir je vais assister à mon 1er "curso de gestantes" (cours de prépa à la naissance). Ça se passe à la maternité de l'hôpital São Francisco (à Mogi-Guaçu). Ma belle-soeur Adriana, qui est infirmière dans ce même hôpital, a eu la gentillesse de discuter avec l'équipe médicale afin que je puisse venir.  J'ai hâte de voir à quoi ça ressemble! Apparemment c'est une psychologue qui va animer le cours de ce soir...

Bon j'ai réussi à trouver l'hôpital!! (c'est déjà ça) et je me suis prise une grosse averse! (précision: au Brésil les averses ne ressemblent en rien à ce que l'on peut voir en France, ici ce sont des tonnes d'eau qui tombent en 5mn, résultat: t'es trempé bien que tu sois sous ton parapluie! bienvenue sous les tropiques!!!)
Bon revenons en au sujet...une fois arrivée dans la salle de prépa, j'ai rencontré Viviane, l'infirmière qui donne les cours. Trés sympa. Je me suis présentée : "bonsoir! je ne suis pas enceinte (du moins pas encore), je suis française et je travaille comme "parteira" (traduction: sorte de sage-femme traditionnelle dont le savoir se transmet de génération en génération, on en voit peu voire pas du tout à São Paulo, elles sont surtout dans les zones rurales assez reculées et pauvres)." Vous allez me dire : je n'ai rien à voir avec cette description! je réponds : c'est vrai mais vu que la profession de sage-femme n'existe pas au Brésil, c'est le mot le plus juste que j'ai trouvé.
Et là elle a tout de suite su que j'étais la fameuse belle-soeur française. En même temps je suis la SEULE et UNIQUE française à Mogi-Guaçu!

Aprés de brèves présentations, les femmes enceintes et leur mari sont arrivés. Et comme à la grande habitude des Brésiliens: tout le monde est arrivé EN RETARD!!! même la psycholoque qui animait le cours! 
Et oui, il faut savoir que le Brésilien a toujours du retard....ce qui n'est pas pour me déplaire, car j'ai cette fâcheuse habitude aussi! Au moins je n'aurai pas de problème d'adaptation de ce côté là. 

Le cours était plutôt interessant. Bon j'ai trouvé ça assez théorique. Elle a abordé : les raisons pour lesquelles on fait un bébé, les modifications émotionnelles que la grossesse entraîne (fameux changements d'humeurs), les difficultés que l'on peut rencontrer en cas d'accouchement prématuré, de malformation ou de décés du bébé, la dépression post-natale (ça j'ai trouvé que c'était important d'en parler, car assez méconnue, et ici les femmes sont peu entourées par le personnel médical en post-partum, c'est le grand VIDE.), les rapports sexuels pendant la grossesse, et enfin l'importance de l'intéraction que les parents ont avec leur bébé à travers le toucher, le chant ou encore la lecture...c'est dommage qu'elle n'ait pas développé plus ce sujet! 
Franchement, j'ai regrétté qu'il n'y ait pas eu plus de dialogue, ça manquait d'interaction et j'ai failli m'endormir sur la fin. Aucun futur parent n'a posé de questions. Faut dire qu'elle ne leur en a pas laissé vraiment l'opportunité! En discutant avec elle à la fin, j'ai cmpris qu'elle était fatiguée et qu'il ne lui tardait qu'une chose : rentrer se reposer. Ce que je peux comprendre...

Les Brésiliens ont un rythme de vie trés difficile (ils sont loin des 35H!), on ne peut pas dire qu'ils soient feignants, bien au contraire et pour gagner peu d'argent au final... c'est certain il s'agit là d'un futur sujet à développer dans mon blog.

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